Les Lionnes indomptables ont perdu hier après-midi à Jinja, dans l’Est de l’Ouganda, contre la sélection locale (2-0). Dans une partie qui a largement dépassé les pouliches de Jean Baptiste Bisseck qui ont échoué à réduire le score sur un penalty « gracieusement » offert par l’arbitre.
C’est une équipe du Cameroun sans âme, sans envie, sans détermination qui a perdu hier après-midi au Fufa Technical Center Stadium of Jinja en Ouganda. Pour le deuxième match consécutif, la gardienne Bihina a commis une erreur monumentale qui a plombé le début de rencontre des lionnes indomptables.
C’est une équipe du Cameroun sans âme, sans envie, sans détermination qui a perdu cet après-midi au Fufa Technical Center Stadium of Jinja en Ouganda. Pour le deuxième match consécutif, la gardienne Bihina a commis une erreur monumentale qui a plombé le début de rencontre des lionnes indomptables.
Dès la 11e minute, les Crates Crane Starlets d’Ouganda ont pris l’avantage au score. A la 30e minute, l’arbitre accorde un penalty généreux au Cameroun. Mais la capitaine du jour, Ajara Njoya, manque la pénalité. 1-0 à la mi-temps. Au retour des vestiaires, les protégées de Bisseck ont toujours ce visage des mauvais jours et peinent à trouver les solutions offensives. Circulation de balle moyenne, finition absente, le jeu de cette équipe est terne. Et logiquement, les Ougandaises vont doubler la marque à la 75e minute. Le score va rester ainsi jusqu’à la fin du match.
Après avoir raté la qualification à la Coupe d’Afrique des Nations féminine 2024 au Maroc, le Cameroun s’est à nouveau mis en grandes difficultés. Il faudra renverser la tendance le 31 octobre prochain en terre camerounaise; les lionnes devront s’imposer par plus de deux buts d’écarts pour espérer continuer l’aventure dans ce tournoi de qualifications aux jeux olympiques Paris 2024 pour espérer être présent à Paris l’an prochain.
En cas de nouvel échec, l’avenir du sélectionneur Jean-Baptiste Bisseck, nommé il y a quelques jours pour succéder à Gabriel Zabo sera déjà menacé puisqu’il s’agira pour Samuel Eto’o Fils, président de la Fecafoot, d’une élimination de trop.