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Cameroun: Le Sous-Préfet de Mora retrouvé mort à sa résidence

by Theophile
Eloundou Amougou Ferdinand Arnaud

Le Sous-préfet de Mora, Eloundou Amougou Ferdinand Arnaud, installé dans ses fonctions le 2 février 2024 a été retrouvé mort dans le salon de sa residence. Les premiers renseignements font état de ce qu’il se plaignait du mal de ventre.

Une triste nouvelle a endeuillé la ville de Mora le vendredi 19 avril 2024. Le sous-préfet de l’arrondissement, Eloundou Amougou Ferdinand Arnaud, a été retrouvé mort dans sa résidence. Les circonstances exactes de son décès demeurent inconnues et font l’objet d’une enquête. D’après les premières informations en circulation dans les médias, c’est la femme de ménage qui a découvert le corps sans vie du sous-préfet dans le salon de sa résidence. Selon un bulletin de renseignements, M. Eloundou Amougou se plaignait de maux de ventre peu avant de passer de vie à trépas.

Alors que sa famille crie à l’assassinat, affirmant qu’il se portait bien la veille, une enquête approfondie est en cours pour déterminer les circonstances exactes de son décès. Des informations troublantes commencent à émerger, laissant planer le doute sur la possible nature criminelle de cette tragédie. Un médecin dépêché sur les lieux a déclaré que le Sous-Préfet serait décédé depuis plusieurs heures, aux alentours de minuit. Le corps du défunt a été transporté à l’hôpital de district de Mora pour une autopsie. 

Ferdinand Arnaud Eloundou Amougou a passé un séjour plus que bref à la tête de la circonscription administrative de Mora. Il avait été nommé sous-préfet de cet arrondissement le 2 février 2024. Avant cette affectation, il occupait le poste de premier adjoint préfectoral à Nanga Eboko.

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Il se dit que sous-Préfet aurait partagé des informations sensible concernant un certain Martin Savon, un proche collaborateur de Ferdinand Ngoh Ngoh actuellement incarcéré dans le cadre de l’affaire de l’assassinat du journaliste Martinez Zogo. Cette révélation laisse planer le soupçon d’un possible règlement de comptes lié à ces révélations compromettantes. Les prochaines jours permettront peut-être de démêler le vrai du faux et de rendre justice à la mémoire du regretté Sous-Préfet Eloundou Amougou Ferdinand Arnaud.

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