Dans une voix qui a fuité sur les réseaux sociaux, TAGNE a prédit une humiliation sans précédent pour ETO’O
La tournée de Kylian Mbappé au Cameroun a fait naitre une polémique inutile. Nombreux sont les camerounais de notre landerneau qui ont soutenu que Samuel Eto’o, le président de Fédération camerounaise de football (Fecafoot), a été exclu du programme de la visite du capitaine de l’équipe de France dans le pays natal de son père.
Dans un Voice qui a fuité au niveau des réseaux sociaux, l’on découvre Jean Bruno Tagne, l’ancien directeur de campagne de Samuel Eto’o qui s’exprime sur cette actualité. L’ancien journaliste du quotidien Le Jour soutient que Samuel Eto’o a tout simplement été humilié.
« Ce qui va arriver à Daddis Camara (surnom attribué à Samuel Eto’o Fils par le blogueur Boris Bertolt pour décrire ce qu’il désigne comme le management autocratique du président de la Fecafoot) ce sera du jamais vu. Il a passé tout son temps à humilier les gens. Il humilie le ministre. Il a humilié Jopseh Antoine Bell. Même Roger Milla qui est couché derrière lui aujourd’hui, il l’a humilié autrefois. Donc vraiment pour moi. Je n’ai aucune espèce de compassion pour lui« , déclare Jean Bruno Tagne dans un voice qui a fuité sur les réseaux sociaux.
L’auteur de l’ouvrage « Programmé pour échouer » (livre consacré à la débâcle de l’équipe de football du Cameroun au mondial 2010 en Afrique du Sud avec un point d’honneur sur le rôle négatif de Samuel Eto’o) va plus.
« S’il avait été à la place de Mbappé il aurait fait pareil. Parce qu’il n’aime pas que la lumière touche quelqu’un d’autre« , ajoute t-il.
Avant de poursuivre : « dis à Tchoki Tchoki (surnom de Idrissou Mohamadou) qu’on a chassé le mal élevé. Parce que c’était une affaire entre personnes civilisées. On ne voulait pas quelqu’un qui est mal élevé au milieu des gens qui sont tranquille , sympathiques, humbles et tout ça là. Et ce n’est que le début de ses problèmes. Il sera humilié désormais chaque jour. Il a passé son temps à humilier les gens. Maintenant on va aussi l’humilier« .
