L’homme politique qui revendique « une proximité avec le forces de défense » a communiqué jeudi matin sur ABK Radio, les dernières informations en rapport avec ce crime commis le 16 Septembre 2022.
Invité chez notre confrère Abk radio, Hervé Emmanuel Nkom militant du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) a parlé du meurtre du gendarme blessé au cours d’une poursuite d’un gang de malfrats qui venaient d’opérer chez un expatrié dans la ville de Douala. Les faits remontent au 16 septembre 2022.
L’homme politique Hervé Emmanuel Nkom a renseigné les auditeurs d’ABK Radio sur la suite des investigations au cours de son intervention sur l’antenne le 6 Octobre. Hier vendredi-là, les forces de l’ordre avait pris en chasse un groupe de bandits qui avaient vu leur tentative de braquage d’un expatrié. Dans leur retraite à travers des rues de la capitale économique, ils avaient ouvert le feu sur un de leurs poursuivants, un gendarme décédé quelques jours plus tard de ses blessures à la tête.
« Dans l’assassinat du maréchal de logis Mbiack, c’est-à-dire le braquage de la banque en plein jour, les enquêtes démontrent aujourd’hui, puisqu’on est en train de traiter deux des gars qui ont été rattrapés, que c’est un gang qui venait du Nigeria et qui est venu faire l’opération à Douala. C’est-à-dire qu’ils ont traversé tout notre territoire à partir du Sud-Ouest pour pénétrer à Douala. Du coup, ils ont fait cette opération qui se solde par l’assassinat d’un de nos vaillants soldats (…) c’était un gang qui n’était pas composé que de deux personnes. Ils étaient nombreux », renseigne Hervé Emmanuel Nkom le membre titulaire du comité central du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC).
Même s’il y a encore de nombreuses questions sans réponse autour de cette affaire, Hervé Emmanuel Nkom croit savoir que dans bientôt on en saura davantage.
« Je vous le dis parce que j’ai une proximité avec les forces de défense, au stade actuel des enquêtes, c’est un gang de Nigérians qui est venu faire le coup. On saura très vite combien de temps ils ont séjourné sur notre territoire avant cet assassinat. Où ils habitaient et quels sont les réseaux de soutien », indique M. Nkom.