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Samuel Eto’o-Fecafoot : «Depuis que j’ai pris la présidence, je n’ai jamais touché mes indemnités de fonction qui s’élève à 3.800.000 FCFA le mois »

by Theophile
Samuel Eto’o

Alors que ses méthodes et sa gestion à la tête de la fédération camerounaise de football (FECAFOOT), ne sont pas du goût de tout le monde, l’ex internationale Samuel Eto’o a exprimé son ras-le-bol face à cette situation estimant que pourtant il fait tout pour le foot camerounais.

Si certains pensent que sa manière de gérer est mauvaise, d’autres estiment de leur côté, qu’il ne ferait pas long feu à cette allure.Dans un entretien accordé à la chaine privée du Sénégal, Itv , Samuel Eto’o Fils assure avoir atteint les objectifs qu’il s’était fixé pour ses 8 premiers mois. « On sait où on va et moi-même je suis là pour m’assurer et contrôler avec mon comité exécutif que le projet que j’ai promis aux Camerounais prend corps et il se voit. Les gens ont l’impression que nous sommes là depuis 15 ans, nous avons juste fait 8 mois. Ce n’est pas toujours facile parce que les gens ont toujours l’impression qu’ils maîtrisent mieux que vous. Si c’était le cas, ils devaient se présenter à cette élection, présenter un projet et devenir président de la Fédération. S’ils ne l’ont pas fait, qu’ils attendent la fin du mandat que mes délégués m’ont donné pour apporter leurs critiques. Mais je dis encore que ce soient les clubs, les supporters, le football féminin ou en équipe nationale, mes objectifs en 8 mois ont été largement atteints », a déclaré l’ancien capitane des Lions Indomptables.

« Depuis que j’ai pris la présidence de la FECAFOOT, je n’ai jamais touché mes indemnités de fonction qui s’élève à 3.800.000 FCFA le mois, avantages compris », a craché Eto’o qui semble agacé par les critiques de part et d’autres sur son travail. A ce sujet, l’ancien Ballon d’Or africain souligne que « je voyage partout dans le pays et le monde entier pour promouvoir le football camerounais et l’image de notre pays à mes propres frais ».

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« Je ne comprends pas pourquoi je suis combattu par mes propres frères qui refusent de voir le football camerounais décoller », a-t-il indiqué.

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