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Cameroun : La revue de presse du mardi 17 septembre 2024

by Theophile
La revue de presse camerounaise du mardi 17 septembre 2024

Très chers abonnés de la revue de la presse, ravis de vous retrouver encore sur camerounactuonline.com pour vous servir votre exercice quotidien : La revue de la presse locale. Comme tous les matins, retrouvez ci-dessous, un aperçu de certains sujets traités par les journaux parus en kiosque et en ligne ce mardi 17 septembre 2024, au Cameroun.

Alternance générationnelle : Place à la reconquête. Le journal LA VOIX DES JEUNES s’intéresse ce matin au parti Action et au Projet 2040 dont les responsables ont lancé la plateforme pour l’alternance générationnelle baptisée « Reconquête », le 7 septembre dernier à Yaoundé. L’objectif de cette méga organisation de jeunesse est de promouvoir le renouvellement de la classe politique au Cameroun…

Accusée de laxisme vis-à-vis des opérateurs privés et publics, l’Agence de régulation des télécommunications, le gendarme du marché, évoque des facteurs exogènes qui perturbent le fonctionnement optimal du secteur des communications au Cameroun, notamment l’approvisionnement insuffisant en énergie électrique, un nombre croissant d’incidents concernant les câbles à fibre optique et la difficulté d’approvisionnement en carburant pour les sites techniques situés dans les grandes villes et au-delà. Le journal Repères en parle dans sa publication de ce matin.

Mayo-Danay : Allô Docteur… titre à sa une le quotidien MUTATIONS. Dans sa parution de ce jour, le journal de Georges Alain Boyomo indique que les inondations aux conséquences multiples dans ce département font craindre une catastrophe sanitaire. Lisez les détails en page 9.

Eneo revendique un taux de pénétration d’électricité de 68 % sur le territoire national. Ce chiffre a été rendu public par le concessionnaire du service public de l’électricité au Cameroun, dans son rapport semestriel. Selon le document, plus de 2 millions de foyers bénéficient désormais d’un accès à l’électricité dans le pays. D’après le bihebdomadaire La Voix Des Entreprises, cette avancée a été rendue possible grâce aux nouveaux branchements et à d’importants efforts financiers qui ont permis à l’entreprise de renforcer son réseau et ses capacités de production.

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Services de télécommunications : La marque de l’inconstance. L’Agence de Régulation des Télécommunications (ART) a rendu public, ce 11 septembre 2024, un communiqué sur la détérioration de la qualité des services proposés par les opérateurs de téléphonie, renseigne le journal ALPHA ECO.

Selon le quotidien Econews, le Cameroun, terre d’opportunités aux portes de l’émergence, nourrit l’ambition de voir son secteur industriel s’épanouir et prendre son envol. Pour y parvenir, le gouvernement a déployé une batterie de mesures visant à améliorer le climat des affaires, véritable terreau fertile pour la croissance économique. Une enquête récente menée par le Ministère de l’Économie, de la Planification et de l’Aménagement du Territoire auprès d’un millier d’entreprises industrielles lève le voile sur un paysage contrasté, où l’optimisme se teinte de nuances et où les défis, bien que reconnus, restent à surmonter.

Copinage – Cafouillage – Désordre étatique : La grande récré… En kiosque ce matin, LE POINT BIHEBDO fait état du fait que le Cameroun traverse en ce moment une période de désordre généralisé, comme s’il n’y avait plus de capitaine dans le bateau. Est-ce une tactique de pourrissement qu’on reconnaît chez Biya ? Filons-nous vers un mur ? À quand le réveil du lion ? *Le Point* décrypte la situation en page 11.

Les cacaoculteurs camerounais sont dans la tourmente. Selon le quotidien L’Economie dans sa publication de ce matin, dans les régions du Centre et du Sud, principaux bassins de production du pays, les preneurs se font de plus en plus rares. Alors que le gouvernement, via son ministre du Commerce a annoncé le prix minimum garanti du kilo de fèves payé au cacaoculteurs à 6000 FCFA, ces derniers peinent à tirer profit de cette hausse. Nombreux d’entre approchés par le journal se plaignent de la carence des preneurs. Une situation qui complique la vente de leurs récoltes, et les plonge dans une situation précaire en pleine rentrée scolaire. Les détails à lire dans le journal de Thierry Ekouti en kiosque ce matin.

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