La plainte ayant pour motif, « rétention sans droit de la chose d’autrui », a été formulée le 1er novembre 2021, soit 4 jours avant la diffusion des vidéos de la footballeuse dans les réseaux sociaux.
Cette chose d’autrui résume notamment des bijoux, des vêtements et une tablette, selon l’énumération faite par Gaëlle Enganamouit dans sa plainte adressée le 1er novembre 2021 au Procureur de la République du Tribunal de première instance de Yaoundé Centre administratif.
Dans cette Plainte adressée au procureur de la République près du Tribunal de Première instance de Yaoundé-centre administratif, la footballeuse explique que la nommée Ahanda Nomo Brenda et elle, sont des amies depuis plusieurs années. Ne s’étant jamais inquiété jusqu’ici de « sa moralité, et de son honnêteté », a « au cours d’un séjour passé dans l’appartement, de son amie Brenda, laissé des effets d’une grande valeur, notamment des bijoux, des vêtements et une tablette laquelle contenait par ailleurs des documents et informations personnelles et professionnelles confidentielles », peut-on lire.
Le désormais ex Team manager de l’équipe nationale de football féminin (fraîchement démissionnaire ce 4 novembre 2021), souhaite que le procureur fasse arrêter son amie avant que cette dernière ne balance sur les réseaux sociaux comme elle menace de le faire, le contenu de sa tablette. Un appareil qui contient selon le ballon d’or africain 2015 “des documents et informations personnelles et professionnelles confidentielles”.
Peine perdue pour le moment car certains éléments de la tablettes, les plus compromettants, agitent depuis ce vendredi 05 novembre 2021 la toile. Il s’agit des vidéos des ébats sexuels entre Gaëlle Enganamouit et une autre jeune femme.
